A découvrir : la villa Ephrussi de Rothchild

Un des joyaux de la Côte d’Azur !

d’inspiration renaissance italienne, ce palais regroupe tous les styles et toutes les époques avec de fortes influences lombardes, vénitiennes et espagnoles. La réalisation du domaine s’étalera de 1905 à 1912. C’est le rêve fou de la Baronne Béatrice qui tombe amoureuse d’un site féerique et décide d’y aménager ses 7 hectares vierges pour y implanter l’écrin qui mettra en valeur sa collection d’oeuvres d’art (mobilier du XViiième siècle, porcelaines des Manufactures Royales de Sèvres et de Vincennes, etc.).

La Baronne léguera la totalité de sa villa et ses trésors à l’Académie des Beaux Arts de l’institut de France qui en devient propriétaire à sa mort en 1934.

La Villa est entourée de neuf jardins à thème et surplombe les baies de Villefranche-sur-Mer et de Beaulieu-sur-Mer. Le spectacle des jeux d’eau musicaux, féerie musicale qui anime le jardin à la française toutes les 20 minutes, accentue l’aspect enchanteur des lieux.

Programmation :

8 mai 2012 : 3e édition de la Fête des Roses

Au cœur de l’un des plus beaux jardins de la Côte d’Azur, la Villa Ephrussi de Rothschild organise, pour la troisième année consécutive, « La Fête des Roses », en hommage à la Baronne Béatrice de Rothschild. Avec l’aide du célèbre architecte-paysagiste Harold Peto, elle créa à l’extrémité des jardins de sa villa une roseraie où l’on peut admirer les plus célèbres variétés de roses françaises ! Du dimanche 6 au mardi 8 mai, « La Fête des Roses » célébrera de nouveau la rose sous toutes ses formes. À cette occasion, elle réunira de nombreux rosiéristes, pépiniéristes et horticulteurs de renom pour faire découvrir au public mille variétés de roses et de plantes méditerranéennes, pour le plaisir des yeux ou pour fleurir son jardin.

24 juin 2012 : La journée des peintres

La Villa propose un grand concours de peinture ouvert à tous. Le temps d’une journée, la Villa ouvre gratuitement ses magnifiques jardins aux peintres, amateurs ou professionnels, qui souhaitent venir exercer leur art sur le site. 

+ infos : http://www.villa-ephrussi.com

Itinéraires Moto en Provence

 

Moto en Provence

Sortie de la première application I-Phone " Moto PACA ". Cette application est gratuite et permet de faire découvrir à tous les motards des itinéraires de 90 à 400km en Provence-Alpes-Côte d’Azur. 

Les partenaires de la filière (Hébergeurs, restaurateurs et professionnels de la moto) qui jalonnent les itinéraires sont présents par l’intermédiaire de pictogrammes et d’un texte de présentation de l’établissement. Vous pouvez également retrouver les stations essences, ainsi que les principaux sites et monuments touristiques à proximité.

De plus, l’application offre la possibilité aux mobinautes de poster leurs propres itinéraires motos et de les partager par mail, SMS et par Facebook à leur communauté.

Vous pouvez d’ores et déjà télécharger l’application "Moto PACA" sur Apple store ou en cliquant ici.

 

Destination Berlin, La ville hype des noctambules !

 

La métropole de Berlin est un haut lieu de la fête et se caractérise avant tout par une chose : sa grande diversité. Ici, chaque quartier possède sa propre identité et son propre centre. Si bien que quand les Berlinois parlent de leur « Kiez », il s’agit de « leurs rues », celles qui donnent vie à « leur quartier » et où se passe leur vie quotidienne. Eh oui, de petits villages, quand il y en a beaucoup, font aussi une grande ville. Et celle-ci est un vrai melting-pot des cultures, pleine de contrastes et profondément sympathique.

Le milieu gay à Berlin compte plus de 100 établissements, répartis essentiellement dans quatre arrondissements. Ceux-ci se trouvent tous dans le centre de Berlin et sont facilement accessibles par les différents moyens de transport en commun.
Le centre historique de la vie gay se trouve dans l’arrondissement de Schöneberg, aux alentours du « Nollendorfplatz ». Ce quartier offre une belle panoplie de bars, saunas et autres établissements, de telle sorte que tout le monde y trouve son compte, quel que soient l’âge et les prédilections. Ceci est également vrai pour l’arrondissement de Prenzlauer Berg qui était déjà le centre du milieu gay de Berlin Est avant la chute du mur. Son arrondissement voisin de Kreuzberg (Oranienstraße) propose des établissements plutôt alternatifs et orientés vers une pensée de gauche. Friedrichshain est surtout populaire chez les très jeunes.

D’une manière générale, à Berlin, on ne fait pas de différence entre hétérosexuels et gays. Surtout dans les « centres gays » Kreuzberg, Schöneberg, Mitte, Friedrichshain et Prenzlauer Berg où des couples gays ou lesbiens s’affichent aussi naturellement que les tandems classiques de sexes opposés. Dans ces quartiers, l’homosexualité fait tout simplement partie intégrante de la vie quotidienne. En revanche, ceci est beaucoup moins vrai pour certains arrondissements plus excentrés se trouvant dans l’est de la ville (Marzahn, Lichtenberg…). Ici, des éléments du milieu d’extrême droite peuvent rendre la vie difficile aux gays et lesbiennes. Il est donc recommandé de ne pas afficher son affection en public.

Visites
Berlin propose plus de 170 Musées et une quantité impressionnante d’autres sites d’intérêt variés. En voici quelques-uns à ne rater sous aucun prétexte :
– La Museumsinsel (l’île des musées) se trouve dans l’arrondissement Mitte, entre le Kupfergraben et la rivière de la Spree, et regroupe 5 musées remarquables : le Pergamonmuseum, le Bodemuseum, le Alte Museum, le Neue Museum et le Alte Nationalgalerie. En 1999, l’unique ensemble architectural et culturel de la Museumsinsel a été déclaré patrimoine mondial par l’UNESCO. Fortement détruite pendant la Seconde guerre mondiale, la Museumsinsel se trouve toujours en cours de restauration. Il s’agit d’un endroit captivant proposant en plus une rencontre inattendue dans l’Alte Museum : c’est ici que la belle Néfertiti vous attend.
– Le Reichstag (siège du gouvernement allemand) se trouve également dans l’arrondissement Mitte. Entre 1994 et 1999, la bâtisse historique a reçu une coupole en verre de la main de l’architecte Sir Norman Forster, dans laquelle on peut même se balader. Visites tous les jours de 8 à 24 heures, dernière entrée à 22 heures. – La Eastside-Gallery dans l’arrondissement Friedrichshain, c’est 1.316 mètres de Mur de Berlin conservés, peints par 118 artistes venant de 21 pays. Depuis 1991, la plus grande galerie en plein air du monde est classée monument protégé.

 

Berlin gay & gay-friendly

Bars
– Anderes Ufer Hauptstraße 157, 13159 Berlin – Schöneberg, métro 7 Kleistpark Le « Andere Ufer » (en français « autres rivages ») se trouve un peu à l’écart des centres gay et propose une ambiance créative et agréable… L’après-midi, c’est un endroit idéal pour lire et « papoter » tranquillement. Le soir, l’établissement prend davantage le caractère d’un bar gay.
– Café bistro bar Beguine – lieu de rendez-vous et culture pour femmes Potsdamer Str. 139, Berlin-Schöneberg, métro 2 Bülowstraße, fermé le dimanche Ambiance sympathique et une cuisine agréable et légère
-Bierhimmel Oranienstrasse 183, Berlin-Kreuzberg, métros 1 et 8 Kottbusser Tor Bon point de départ pour une nuit en ville. La partie antérieure de l’établissement est réservée à un café proposant des gâteaux et tartes ainsi qu’un vaste choix de bières. A l’arrière se trouve, plus intime, la bar à cocktail « Love Lounge »
– Sonntags-Club Greifenhagener Str. 28, 10437 Berlin-Prenzlauer Berg, métro 2 et S-Bahn 8 Schönhauser Allee Un point de rendez-vous avec histoire pour bisexuels, gays et transsexuels : ce centre existait déjà au temps de la RDA, clandestinement, à cause de la répression exercée par l’état…
– Café Amsterdam Greifenhagener Str. 24, 10437 Berlin-Prenzlauer Berg, métro 2 Schönhauser Allee Petit café bien cosy avec bar à cocktail

Discothèques
Blu
Neue Schönhauser Str. 20, 10178 Berlin-Mitte, métro Weinmeister Straße
Club « en vogue » avec bar à cocktail et une petite piste de danse

GMF
c/o Café Moskau, Karl-Marx-Allee 33, 10178 Berlin-Friedrichshain, métro Schillingstraße
Des bons DJ, un club populaire, du charme à la socialiste

SO 36
Oranienstrasse 190, Berlin-Kreuzberg, métro Kottbusser Tor / Görlitzer Bahnhof
Clientèle mélangée à tendance alternative dans un club bien riche en tradition… Informations actualisées concernant le programme sur le site www.so36.de

Die Busche
Mühlenstr. 11-12, 10243 Berlin-Friedrichshain, métro et S-Bahn Warschauer Straße
Discothèque en face de la East Side Gallery, fréquentée par un public jeune. Principalement de la musique pop

Plages et rivières
– Strandbad Müggelsee (plage au bord du lac Mügglesee) S-Bahn Friedrichshagen, tram Fürstenwalder Damm / Müggelseedamm
– Teufelssee (plage au bord du lac Teufelssee)
S-Bahn Grunewald, ensuite environ 15 minutes à pied
– Strandbad Müggelsee (plage au bord du lac Müggelsee) S-Bahn Nikolassee, ensuite prendre le bus jusqu’à la plage située juste derrière la zone naturiste
– « Tuntenwiese » (parc) A Mitte, proche Siegessäule / Großer Stern, entre Hofjägerallee et Straße des 17. Juni, Métro Hansaplatz. Naturisme possible
– Volkspark Friedrichshain (parc) Aux alentours du « Märchenbrunnen » (« la fontaine des comptes »)
– Viktoriapark (parc)

Organisations
Allgemeine Homosexuelle Arbeitsgemeinschaft e.V. – AHA-Berlin e.V. (groupe de travail homosexuel)
Mehringdamm 61, 10961 Berlin, Tel : +49 (0)30 692 36 00

Mann-O-Meter e.V.
Bülowstraße 106, 10783 Berlin-Schöneberg, métro Nollendorfplatz, Tel : +49 (0)30 216 80 08 et +49 (0)30 215 70 78, heures d’ouverture : lundi à vendredi 17 à 22 heures, samedi et dimanche 16 à 22 heures

Office de Tourisme de Berlin
www.berlin-tourist-information.de

Article rédigé par Harriet Hagebaum-Reignier
PROSUDCOM

www.prosudcom.com

 

Balade dans le marais des brocanteurs

Le village Saint Paul est véritablement un village au coeur du Marais entièrement dédié aux antiquités et au design. Situé derrière la très belle église baroque Saint Paul, on y accède par de petits passages entièrement piétonniers, entre la rue de Rivoli, et son prolongement rue Saint Antoine et les quais de Seine.

C’est un endroit merveilleux pour flâner et chiner. De la simple brocante aux antiquités de toutes les époques et depuis peu, grâce à l’ impulsion de l’association des commerçants du Village Saint Paul et de la mairie du 4ème, on y découvre de plus en plus de jeunes créateurs et designers pour la maison qui viennent compléter l’offre déjà très riche d’objets décoratifs de tous styles. Il est de bon ton de marchander pour les objets anciens ou la brocante mais pas pour les objets design qui sont souvent des créations uniques.

À la sortie Ouest du Village vous découvrirez un long mur de pierre garni de tourelles, il s’agit de la partie majeure qui subsiste des fortifications de Philippe Auguste datant du 11ème siècle. À cette époque Paris avait seulement la taille des six premiers arrondissements. La cité était fortifiée et ressemblait à ce qu’est encore Carcassonne aujourd’hui. Aujourd’hui la seule vraie fortification de Paris est symbolique et est constituée par le boulevard périphérique qui marque en quelque sorte un frontière financière entre Paris et sa proche banlieue, le prix de l’habitat poussant toujours plus loin les parisiens loin du centre historique. Côté Seine, se trouve le Pont Marie qui permet d’accéder à l’île Saint Louis. Avant de traverser, faites une pause à l’Hôtel de Sens, ancienne demeure de l’Archevêque de Sens, qui est aujourd’hui la bibliothèque Forney. Une visite courte s’impose pour découvrir son magnifique style gothique et début renaissance. Vous aurez l’impression d’être en Vallée de la Loire.

Passez le Pont, et vous voici dans l’endroit le plus cher de la capitale. 70 % des résidents sont des acquéreurs étrangers, principalement américains, qui adorent ce coin de Paris. Vous tomberez sous le charme des petits restaurants parfois trop touristiques, des glaciers célèbres comme Berthillon où vous ferez la queue pour déguster en toutes saisons les plus délicieux sorbets… Ne manquez pas non plus les concerts classiques de la superbe église Saint-Louis en l‘île. Une balade extraordinaire et romantique. Traversez le Pont Saint Louis et vous vous trouverez dans l’île de la Cité où se trouve Notre-Dame fraîchement rénovée et nettoyée. À la pointe Sud de l’île se trouve un mémorial aux victimes du nazisme. Évidemment ne manquez pas d’entrer à Notre-Dame en longeant le charmant Square Jean XXIII.

Savez-vous qu’au moyen-âge Notre Dame était entièrement peinte intérieur et extérieur en couleurs vives et chatoyantes? Vous découvrirez aussi en traversant le palais de justice une autre merveille de l’art gothique et ses vitraux majesteux aussi célèbres que ceux de Chartres : La Sainte Chapelle. L’entrée est payante et certains concerts classiques prestigieux y sont organisés.En retraversant la Seine devant le Châtelet et les tours de la Conciergerie, faites une pause au marché aux fleurs. Orchidées, géraniums, plantes aromatiques, fleurs coupées ou en pot. Tout pour fleurir vos balcons et faire plaisir à ceux que vous aimez. Une institution pour tous les parisiens qui se font une fierté d’avoir toujours leurs fenêtres fleuries.

avec www.parismarais.com

Sortir des sentiers battus… intelligement !

 

Sortir des sentiers battus… intelligement !

Tourisme durable, écotourisme, tourisme équitable… la tendance du voyage est au vert. Mais bien plus qu’une mode, ce phénomène répond à un besoin urgent de préserver nos sites touristiques…

Depuis plus d’une dizaine d’années, les touristes, toujours plus nombreux, cherchent à s’éloigner des foules, des hôtels HLM, des bords de mer bétonés, ou du voyage en groupe trop encadré. Selon l’Organisation Mondiale du Tourisme, les flux touristiques devraient doubler à l’horizon 2010. Dans ce cadre, le tourisme pourrait devenir une cause de pollution majeure des trésors de la planète. On parle souvent de ces pionniers du tourisme qui tentent de développer telle ou telle forme de tourisme dans une contrée méconnue à l’autre bout du monde. Si la France ne compte plus guère de centimètres carrés inexplorés, il n’en demeure pas moins indispensable de préserver ce
patrimoine qui fait vivre près de 15% de la population… et revivre ceux qui s’échappent de leur quotidien pour prendre un bol d’air… Alors voilà : pour avoir encore longtemps le loisir et le privilège d’observer faune et flore de nos campagnes, fonds marins des littoraux, ne pas transformer toutes nos côtes en résidences-vacances, défigurant définitivement les paysages qui, de fait, n’attireront plus les touristes du monde entier, il nous faut repenser nos comportements de touristes consommateurs et de/ou d’acteurs du tourisme local.

« Take only pictures, leave only footprints »
« Ne prenez que des photos, ne laissez que des traces de pas », c’est la maxime que l’on peut lire à l’entrée de chaque parc naturel américain. Bien que l’Amérique ne compte pas parmi les modèles écologiques les plus
aboutis – loin s’en faut – il faut reconnaître que le principe et la formule sont louables. En d’autres termes, il est urgent d’apprendre à nous passer de nos douches quotidiennes en pleine nature avec des savons chimiques ultra-polluants, à ne plus jamais jeter quoi que ce soit, même lorsque d’autres l’ont largement fait avant nous… Préserver la nature, c’est déjà bien, mais choisir un mode de tourisme qui répond à des valeurs de développement durable, c’est mieux.

Voyager différemment, mieux, utile…
Pour faire face au développement sauvage du tourisme de masse qui rompt trop souvent l’équilibre fragile des écosystèmes locaux, de nouvelles offres de tourisme voient le jour pour touristes solidaires et responsables. Les opérateurs de tourisme dits « de nouvelle génération » ont une triple exigence : proposer de réels produits touristiques attrayants, promouvoir les comportements responsables, et développer un tourisme qui favorise la préservation des cultures et de l’environnement. Ils doivent également développer une activité économique qui sert réellement les intérêts des communautés locales. Alors même que l’individualisme est exalté par nos sociétés consuméristes et que les valeurs d’échange et de partage sont ringardisées et reléguées aux idéologies post soixante-huitardes, il semblerait que la nature décide à notre place : plus question d’envisager le développement économique et touristique sans poser les questions de la préservation de l’environnement.
Qu’on soit voyageur ou professionnel du tourisme, il est des attitudes et des choix citoyens à faire. La plupart relèvent du bon sens et de nombreux organismes et associations s’en font le porte-parole. Les outils existent, reste à les découvrir (avec, notamment, les sites et organismes que nous vous proposons ici) et propager l’idée de voyager intelligemment.

 

PETIT ABRÉGÉ DU TOURISME RESPONSABLE ET SOLIDAIRE

Durable, équitable, éco, quelle différence ?
Pour définir cette nouvelle façon de voyager, les termes ne manquent pas, mais ils ne signifient pas tous la même chose…

Le tourisme durable :
Selon l’OMT, le tourisme durable est une façon de gérer « toutes les ressources permettant de satisfaire les besoins économiques, esthétiques et sociaux et de préserver l’intégrité culturelle, les écosystèmes, la biodiversité et les systèmes de soutien de la vie ». Le produit touristique doit donc répondre aux exigences de respect à long terme de l’écosystème, de viabilité économique et d’équité sur le plan éthique et social pour les populations locales.

Le tourisme équitable :
Ce terme désigne l’ensemble des activités de services, proposées par des opérateurs touristiques à des voyageurs responsables. Les activités sont élaborées en grande partie ou en totalité par les communautés d’accueil qui en conservent la maîtrise. Les bénéfices sociaux, culturels et financiers, dont les intermédiaires sont réduits au plus petit nombre, sont perçus en grande partie localement, et sont équitablement partagés entre les membres de la population autochtone.
L’écotourisme :
L’écotourisme est «une forme de voyage responsable dans les espaces naturels qui contribue à la protection de
l’environnement et au bien-être des populations locales» (International Ecotourism society). Les buts de ce type de
tourisme sont : l’observation de la nature et des cultures dans les zones naturelles, avec une dimension éducative. Ce tourisme se pratique généralement en groupes restreints.

A LIRE

Comment chier dans les bois ?
Pour une approche environnementale d’un art perdu
Éditions Édimontagne
Sous un titre un peu grivois, Kathleen Meyer propose un ouvrage tout à fait sérieux qui nous apprend, à chaque page, comment préserver la nature lorsque l’on s’y promène ou qu’on y campe. Cet ouvrage nous explique, entre
autres, pourquoi il est indispensable de traiter nous-mêmes nos déchets et comment s’y prendre.

 

Touriste ou professionnel du tourisme
comment s’engager ?

Créée en 2000, l’association « Citoyens de la terre » a pour but d’informer et réaliser des actions concrètes en faveur de l’éducation à l’environnement et du développement durable. Depuis la première mission de soutien à la préservation d’un parc naturel au Costa Rica, ils ont fait du chemin. La démarche de tourisme durable ne concerne pas que les contrées oubliées à l’autre bout du monde. Il s’agit en fait d’inciter tous les acteurs du tourisme (professionnels et consommateurs) à prendre conscience de leur impact sur l’environnement et les guider vers des pratiques plus respectueuses. Notamment, pour les hébergements, CDT propose une grille d’évaluation de 65 critères environnementaux. Aujourd’hui,ils concentrent leurs actions autour du bassin méditerranéen et du quart Sud-Est de la France. En effet, la région a vu sa démographie et son nombre de visiteurs exploser dans les années
50, une évolution récente et brutale qui a un impact direct très important sur l’environnement : urbanisme, traitement des déchets, utilisation de l’eau, pollution de l’air, etc. Les Citoyens de la terre cherchent donc des solutions qui favorisent le développement touristique en prenant en compte le facteur environnemental. Ils proposent des actions d’information, des débats et des actions concrètes avec les acteurs du tourisme soucieux de préserver leur patrimoine naturel et culturel. Toutes les informations sur leur site :
http://www.eveil-tourisme-responsable.org

 


Sur le web…
http://tourisme-durable.net
www.actionconsommation.org
www.ritimo.org
Union Nationale des Associations de Tourisme et de Plein Air
www.unat.asso.fr
www.tourismesolidaire.org
Ministère délégué au tourisme
www.tourisme.equipement.gouv.fr/fr/home.jsp

Balade : la route des lavandes à moto

La route des lavandes à moto
avec le Conseil Régional du Tourisme

Cette route des lavandes à travers le Verdon, nous est proposée par le Comité Régional du tourisme, section moto. Un circuit de 85 km à travers des paysages aussi divers que typiques…

Partez à la découverte de la tradition de la lavande qui, depuis des siècles, a forgé le visage des Alpes de Haute-Provence, notamment celui du plateau de Valensole au coeur du Parc Naturel Régional du Verdon. Le long des routes, des apiculteurs présentent leurs produits issus de cette plante apparue au Moyen Age dans les monastères et qui a très vite été reconnue pour ses propriétés médicinales. Dans le premier tiers du XXe siècle, le lavandin envahit les plateaux et les plaines tandis que la lavande fine traditionnelle demeure cantonnée en montagne. Lavande ou lavandin, les paysages sculptés pas les rangées de plantations attirent pour leurs couleurs. Certains leurs reprochent un côté « image d’épinal », c’est pourquoi ils préféreront traverser ces paysages hors-saison quand la lavande coupée hiverne en attendant le printemps pour repousser et offrir ses couleurs à la Provence.

Ce que vous verrez
> Les gorges de Trévans
>La ville thermale de Gréoux-les-Bains
> Le château d’Allemagne-en-Provence
> Riez la Romaine
> Les lacs de Sainte-Croix et d’Esparron-de-Verdon
> Le Musée de Préhistoire des Gorges du Verdon à
> Quinson
> La réserve géologique de Haute-Provence

LʼITINÉRAIRE
Départ : Estoublon
Prendre la D907 puis la D8 au point de vue le « Poteau de Telle »
Direction SO pendant 23 km
à Valensole, prendre la D8. Direction SO sur 13 km.
à Gréoux-les-Bains, suivre la D952, direction Est sur 12 km.
à Allemagne-en-Provence, prendre D952 en direction du Nord Est sur 8.5 km.
à Riez, suivre la D952 puis la D56 en direction de Puimoisson – Nord Est sur 12 km.
à Puimoisson, la D108 sur 8,5 km direction Est.
à Saint Jurs sur la D108 puis D907 (prendre à droite), direction Nord sur 8 km
Arrivée : Estoublon

Nouveau !
LE CRT PROPOSE DES CIRCUITS MOTO EN PACA
Depuis peu, le Comité Régional du Tourisme propose des circuits et services dédiés aux amoureux des deux roues. Fidèle à sa forme cartographiée, le site propose plusieurs centaines de kilomètres de circuits en moto en région PACA. Les circuits sont classés par thématiques (géographique, historique, etc.). Bien sûr, vous y retrouverez les classiques, telle la route des Crêtes ou encore la route Napoléon. Mais aussi des circuits au milieu des villages pittoresques de Haute Provence, dans les canyons de la Durance, etc. Une aubaine pour les amateurs de moto et de balades triées sur le volet pour le plaisir de la conduite et de lʼoeil.

DEMANDEZ VOTRE CARTE DES CIRCUITS
Le CRT a édité une carte gratuite de 16 balades, disponible en plusieurs langues. Les circuits font en moyenne 150 km. Pour obtenir la carte, il suffit dʼadresser votre demande en précisant vos coordonnées par courrier à :
Comité Régional du Tourisme PACA
10 place de la Joliette
BP 46214
13567 Marseille cedex 02
ou par mail à : information@crt-paca.fr

Tous les circuits moto sur le site du CRT PACA
www.decouverte-paca.fr
cliquez sur «sports» puis «moto»

destination : Hambourg, berceau des gays allemand

« La liberté, les anciens l’ont trouvée, à la postérité de la préserver » – voici la devise prometteuse de cette métropole nordique située au bord du fleuve Elbe. Quoi de moins surprenant alors que de constater que son milieu gay fait bien parti des plus colorés de l’Europe ? Et ce n’est probablement pas un hasard non plus que le premier mariage homo allemand a bien eu lieu ici, à Hambourg…

La ville de Hambourg au fier passé d’une ville libre et prospère, offre le bon feeling des grandes métropoles, et un côté relax grâce à l’eau et la nature présente en son coeur. Place aux lifestyles et cultures on et off, aux fameux musicals joués en ses murs et au charme particulier d’un grand port international…
Le quartier gay à Hambourg est indiscutablement Saint Georg, situé au centre de la ville entre le Hauptbahnhof (gare centrale) et le fleuve Alster. Surtout dans les rues Lange Reihe, Steindamm, Pulverteich, Danziger Straße et Rostocker Straße se trouvent une multitude de bars et cafés, mais aussi des agences de voyages gays, des médecins, des coiffeurs très tendance… Et tout cela dans une ambiance joyeuse et multiculturelle. Concernant la vie nocturne, le très fameux « quartier rouge » de la ville est, lui aussi, toujours un must. La Reeperbahn est aujourd’hui un lieu culturel des plus variés et un véritable culte.

Les visites :

Deichtorhallen :
Ici, vous trouvez surtout de l’Art contemporain et des expositions de photographie… (Deichtorstr.1-2, métro U1 Steinstraße. Plus d’informations sur www.deichtorhallen.de)

Erotic Art Museum :
Voici la plus importante collection d’art érotique du monde qui soit accessible au public ! Sujet oblige, le musée se trouve juste à côté de la Reeperbahn. On y présente la collection propre de la maison ainsi que des expositions issues des domaines de la peinture, de la bande dessinée et de la photographie.(Bernhard-Nocht-Straße 69, S-Bahn Reeperbahn. Pour plus d’informations, rendez-vous sur www.erotic-art-museum.net.)

Hamburg Dungeon :
Ici, on ne vous présente que les chapitres les plus noirs de l’histoire de Hambourg.Revivez ce passé de manière incroyablement réaliste dans les catacombes de la ville, à l’aide de techniques modernes… (Kehrwieder 2, métro U3 Baumwall. Plus d’infos sur www.hamburgdungeon.com)

Panoptikum :
Cet étonnant cabinet de cire a plus de 125 ans et présente plus de 130 figures. A voir et à revoir… (Spielbudenplatz 3, métro U3 St.Pauli. )
Plus d’informations au www.panoptikum.de

Museum für Kunst und Gewerbe :
Un musée important pour qui s’intéresse à l’art, à l’artisanat et au design. Des collections en provenance d’Europe, du Proche-Orient et de l’Extrême-Orient, de l’Antiquité jusqu’à aujourd’hui. (Steintorplatz, métro et S-Bahn Hauptbahnhof. Plus d’informations sur www.mkg-hamburg.de

Beach-Bars (gay-friendly) et plage :
Ciu’ die Alsterinsel Un ponton sur le fleuve Alster ! Des boissons fraîches et des repas légers. Max Brauer Allee / Schulterblat, S-Bahn Sternschanze Hamburg City Beach Club Musique style « club ». Große Elbstraße 134, S-Bahn Königstraße
Strand Pauli Proche de l’ancien tunnel passant sous l’Elbe. Vue sur les docks. Un lieu idéal pour se relaxer. Hafenstraße 89, métro et S-Bahn Landungsbrücken Boberger See Lac de baignade avec un coin gay, à proximité de Bergedorf (voiture obligatoire)

Office de Tourisme de Hambourg : www.hamburg-tourism.de

Pour lire l’article et consulter notre sélection de bars et discothèques cliquez ici pour télécharger le magazine Gaymag

Balade : la provence des bâtisseurs modernes

La Provence des bâtisseurs modernes

Edifices publics, espaces culturels, immeubles, quartiers…Les architectures contemporaines révèlent une facette inédite de la vitalité provençale. De Nice à Arles, inspirés par les tonalités du Sud, de grandes signatures ont édifié des oeuvres audacieuses ou réinterprété des lieux chargés d’histoire…

pour lire l’article cliquez ici pour télécharger le magazine GayMag

Balade : dans les ocres du Luberon

 

Dans les ocres du Luberon
avec Vélo Loisir Provence

Bien avant la naissance de votre bisaïeul, il y a quelque cent millions d’années, la mer venait mourir au pied des Alpes. Dans le Luberon exactement. Quand la mer s’est retirée, les sables des fonds se sont mélangés à l’oxyde de fer et au kaolin pour révéler d’incroyables couleurs…

Blancs, jaunes, orangés, rouges ou terres, les paysages sont aussi surprenants par les couleurs que par les formes. Découvertes au 18e siècle, les carrières dʼocres ont produit des pigments pendant de multiples décennies avant dʼêtre délaissées au profit des productions industrielles. Cʼest donc lʼhomme qui a achevé ce tableau surprenant. En prélevant lʼocre, il a créé des formes étranges et uniques qui viennent rompre avec le calme des
figuiers et des pins : canyons, colonnades, cirques, etc.

 

Nous vous proposons, avec Vélo Loisir Provence, plusieurs circuits deux roues pour sillonner ces paysages surprenants à vos rythme et niveau.

Vous pourrez également choisir une autre date et pédaler en solo avec la carte ci-dessous et les bons conseils de Vélo Loisir Provence.

Vélo Loisir Provence, groupement de professionnels du tourisme, facilite les escapades en Provence en offrant un ensemble de services pour parcourir les itinéraires fléchés «Le Luberon en Vélo». Le réseau est composé d’hébergeurs (hôtel, camping, chambre d’hôtes, gîte d’étapes), de loueurs/réparateurs de vélos, d’accompagnateurs Brevetés d’Etat Aux Activités du Cyclisme, de taxis et d’une agence de voyages.
http://leluberonavelo.com/

Une balade du côté de la mâchoire de pierre

Une balade du côté de la mâchoire de pierre

avec le Comité Départemental du Tourisme des Bouches-du-Rhône

Une demi-journée de circuit en voiture aux pieds de la montagne Sainte-Victoire… Le Comité Départemental du Tourisme des Bouches-du-Rhône propose un grand choix de promenades à pied, en voiture et bientôt à vélo. Classées par difficultés et longueur, retrouvez de nombreuses balades sur le site http://www.visitprovence.com dans la partie «Loisirs de pleine nature». La route qu’il nous propose ici nous fait découvrir la «barre du Cengle» et ses villages fortifiés.

Départ : Château de Beaurecueil

Beaurecueil au pied de la montagne Sainte-Victoire renferme un château massif construit au XVIIème siècle. Entouré d’un très beau parc, la bâtisse flanquée de tours d’angle remarquables, attire votre regard. Ici, tout vous ramène à un autre âge : les grilles, les solides piliers ornés de têtes sculptées, mais aussi une certaine douceur de vivre. Les rares maisons judicieusement disséminées dans l’espace paraissent mariées à la nature, comme si les murs avaient poussé de la terre, aux côtés des arbres. Depuis le château, prendre la D46 en direction de Châteauneuf-le-Rouge. En suivant la D46, vous longez le contrefort Ouest de la barre du Cengle. Cette couronne rocheuse délimite en arc de cercle le plateau de Maurély posé au pied de Sainte-Victoire. Cet endroit baigné d’un soleil éclatant renferme bien des lieux aux noms et histoires étranges : le Pas de la Vache, le Pas de Monsieur, la Cabane du Loup, les Masques, le Pas de la Lèbre… De chaque côté du parcours, on aperçoit de belles propriétés brossées par les courants d’air frais qui descendent de la montagne. On remarque aussi de grands champs cultivés si parfaits de forme et de lumière qu’on les croirait dessinés aux crayons de couleur.

Arrivée à Châteauneuf-le-Rouge. L’entrée du village se fait par le quartier des «Fourches». Le village à l’origine était un hameau cossu composé d’un grand château et de ses dépendances fermières. Il renferme aujourd’hui une population plus importante, mais la bâtisse d’origine et sa filiation n’en ont pris que plus d’importance. La cour pavée du château accueille chaque année en juillet le Festival de la Musique et du Théâtre. Ceux qui s’y rendent peuvent également ment visiter le Musée Arteum qui présente une collection de peintures contemporaines ainsi qu’une reconstitution de l’atelier du peintre Arsène Sari. Prendre à gauche la N7 en direction de Puyloubier. À partir des remparts de l’ancien château, la N7 s’enfonce vers l’est entre de grands espaces agricoles. Après le lieu-dit «Les Bannettes», prendre à gauche la D57b en direction de Puyloubier. On aperçoit droit devant, calé au fin fond de la barre du Cengle, le village de Puyloubier.

Avant d’y entrer, la D57b longe champs, ruisseaux d’irrigation, vieux cabanons de pierre et autres constructions agricoles qui modèlent un paysage de plaine. Vu d’ici, l’alignement régulier des roches striées de la barre du Cengle fait penser à une immense mâchoire naturelle, tout juste édentée par la brèche du «Troncas». À l’arrivée sur Puyloubier, la D57b croise le GR9 qui propose au randonneur une balade dans le village jusqu’au musée de l’Uniforme installé dans les bâtiments de la Légion étrangère. Un peu plus haut le sentier croise l’oratoire de Malivert et monte jusqu’au sommet de la Sainte-Victoire.

Prendre à gauche la D17 en direction de Saint-Antonin-sur-Bayon. En sortant de Puyloubier, on aperçoit de part et d’autre de la route une végétation sauvage. Ici, après avoir laissé une lourde part d’elle-même aux flammes, la garrigue reprend ses droits. Grâce sans doute à la bonté de Sainte-Victoire, la nature a su se défendre avec l’aide de ces orages grandioses et terribles qui, en hiver, effrayent parfois le promeneur.

Après quelques belles fermes en pierre taillée, la D17 arrive à Saint-Antonin-sur-Bayon. Aux abords de ce village dominé par un superbe château du XVIIIème siècle, on trouvera de nombreuses balades pédestres à faire en direction du plateau du Cengle et de Maurély. De plus, de vastes étendues propices à la détente, au repos dans de hautes et accueillantes herbes bordent le cours du Bayon. Ainsi, après avoir goûté un brin de repos, le retour vers Beaurecueil est possible par la D17 puis la D46.

Arrivée : château de Beaurecueil

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